Je recommence tout pour toi

Je dépose mon armure
Je marche dans la rue
Je vais faire tomber le mur
J’arrête de faire le roy
J’ai tant besoin de toi
Tu es la moitié de moi
Je crois être plus fort que tout
Mais sans toi je n’ suis rien du tout
J’oublie tout de moi… avec toi

Je marche dans la rue
Sous ma peau la signature
De cet amour qui me rassure
Je crois que ce matin
Mon cœur n’est plus orphelin
C’est mon ombre que je plains
Je crois être plus fort que tout
Mais sans toi, je n’suis rien du tout
J’oubli tout de moi… avec toi

Refrain
Je recommence tout pour toi
J’oublierai tout , jusqu’à ma foi
Je recommence tout, seul’ment pour toi , pour toi
Je recommence tout pour toi
Refaire tout seul’ment pour toi
Je recommence tout , seul’ment pour toi
Que pour toi ha ha

Je suis si près de toi
Ma vie commence là
Même si je suis hors la loi
Mon plus beau rendez vous
Bien au dessus de tout
Je n’entends plus que ta voix
Je veux que chacun de mes pas
Toujours me mènera à toi
J’oubli l’avant toi , avec toi 

Pont

 Viens , donne moi la main
Marchons vers nos lendemains.

Pousser les balançoires

Les voir doucement grandir / les voir longtemps sourire
Leur faire la courte échelle / Pour mieux voir le soleil
A l’heure ou le temps passe / Avant qu’elles me dépassent
Pêcher dans les rivières / Faire le tour de la terre.
Encore être ébloui / De leurs éclats de rire
A côté d’elles m’asseoir / Raconter des histoires
Les prendre par la main / Faire sourire leurs destins
Et faire tomber les larmes / D’un voyou qu’on désarme

Garder dans ma mémoire/ Pour mon vol migratoire
Ces beaux moments d’histoire /Plus forts qu’une victoire
De sentir leur bonheur / me faire battre le cœur
Des moments de chaleur / Des instants de douceur
Partager le présent / Du levant au couchant
Pour qu’ils restent pour toujours / Des souvenirs d’amour
Pour chasser la roulette / Et pour lui tenir tête
Les préparer demain / à tracer leurs chemins

Refrain
Pousser les balançoires
Comme des battements de cœur
Pousser les balançoires
Comme on pousse un bonheur
Pousser les balançoires
Redonner de l’élan
A leurs pas hésitants
Les guider vers l’avant

Pousser les balançoires
Comme des battements de cœur
Pousser les balançoires
Comme on cherche du bonheur
Pousser les balançoires
Comm’ pour toucher le ciel
Et déployer ses ailes
Parenthèse naturelle.

Sous le tulle de tes cils

Sous le tulle de tes cils
Petits miroirs d’eau des îles
Calmes et limpides d’innocence
Se troublent bientôt d’impatience
Tu vas grandir beaucoup trop vite
Ton cœur ne bat plus, mais palpite
Les autres filles même dérangées
Voudraient presque te ressembler

Sous le tulle de tes cils
L’artiste de ta vie dessine
Contours détours, tout autour
Toutes les lignes de l’amour
Tu sens le ventre de ta vie
Rose à tes joues qui te trahit
Tu interroges ton miroir
Cueille les sourires par milliards

Si ce ,n’est pas maint’nant
Tu aimes déjà tes enfants
Tes hortensias et ta maison
Crépie de rose comme un bonbon

Sous le tulle de tes cils
Tu rêves, ton âme chavire
Les chercheurs de tes jolis yeux
En perdent leur âme d’amoureux
Tu commences à comprendre
(que)Beaucoup de cœurs sont à prendre
Mais le bonheur n’est pas l’ivresse
Le bonheur est une caresse

Si ce n’est pas maint’nant
Tu aimes déjà tes enfants
Tes hortensias et ta maison
Remplie de rires et de chansons
Même s’il n’a pas de visage
Tu as déjà son image
Tu sens déjà le parfum
De celui qui prendra ta main

 

Tu as peur de quoi

Je comptais tous les jours, dans un compte à rebours
Petit morceau de vie, dans mon ventre arrondi
Mes bras grands ouverts , De ce corps en jachère
Les mains bien lavées, prêtes à te cajoler

*

Enfin Je te couve, jalouse comme une louve
Je t’ai senti bouger, ce jour là j’ai chialé
Mes pas te balançaient, doucement tous les jours
Tu partageais mon ventre, d’un bonheur qui me hante.

*

A l’abri des méchants, de la pluie et du vent
Impatiente de tes cris, au milieu de la nuit
J’allais déjà chercher, une perle de rosée
la poser sur ton nez, Pour te faire rigoler

Refrain

Tu as eu peur de quoi, pour vouloir t’arrêter
Au beau milieu du gué, moi, de l’autre côté
Tu as eu peur de quoi, de continuer l’histoire,
De vivre d’illusions, et de résignations
Tu as eu peur de quoi, tu as eu peur de quoi.

*

Tu as eu peur de quoi, d’un monde qui devient fou
Plein de sang et de poudre, sans jamais rien résoudre
moi aussi j’avais peur, mais j’étais avec toi
Tu as eu peur de quoi, tu as eu peur de quoi

 

Pont

Je t’attendais moi, je t’attendais
Je t’aimais déjà moi, je t’aimais déjà
Mais tu n’es plus là !
Tu as eu peur de quoi ?

*

Tu es tombé du nid, comme on tombe dans un puits
Pourquoi tu m’as fait ça, tu as eu peur de quoi ?
Pourquoi t’es pas venu, je t’aurais défendu
Mes bras ballants se figent, se resserrent sur du vide

*

Moi, je voulais T’apprendre, à peindre les couleurs
Qui ressemblent au bonheur, te faire sentir les fleurs
Tu sais, je n’ t’en veux pas, le temps ne compt’ra pas
Pour effacer mes doutes, pour reprendre la route.

*

Final

Je t’attendais moi, je t’attendais
Je t’aimais déjà moi, je t’aimais déjà
Mais tu n’es pas là !
Tu as eu peur de quoi (bis)

 

Un pas de plus

La mer en frisonne encore…
Les voiliers sont revenus au port…
Les larmes se cachent dans les tiroirs …
Les photos se racontent leurs histoires…
Des âmes veillent sur nos sommeils…
On ne sera jamais plus pareils…
Debout sous la grande ourse
Le ciel est encore blues

Un petit pas de plus, tous les jours
Vers un peu plus d amour
Un petit pas de plus tous les jours
Pour un peu plus d’amour
Un pas de plus tous les jours
Pour un peu plus d amour
Pour une paix souveraine
Ça en vaut bien la peine,(bis).

Aux 4 coins du monde
Veille la bête immonde
Pousse les peuples en lutte
Qui se persécutent
Attisés par nos différences
Et dans l’ignorance
Des coups et des haines qui couvent
Des dieux et de nos plaies qui s’ouvrent

Qui a gagné qui à perdu
On ne le sais même plus
La paix est là funambule
Qui oscille comme un pendule
Pleurent encore les médailles
Tachées de funérailles
Donnes moi la main
Le monde ira mieux demain

Voyage moi

Je me promène le long des dunes
La mer rattrape mes souvenirs
Comme pour venir en engloutir
Les traces de toi , ma seule fortune
Mon regard traine à l’horizon
Des voiliers glissent sans matelot
J’me pench’rai plus sur mon héros
Tu n’ seras plus à la maison

Ça sert à quoi de rester là
Ça sert à quoi ,ça sert à quoi
Voyage moi pour te revoir
Voyage moi là où tu s’ras
Voyage moi que je décolle
Ce manque de toi me cloue au sol …
Raconte moi ce que tu vois
Raconte moi   humhumhum  Voyage moi

Ma vie s’échappe comme de l’eau
Au plus profond du désespoir
Comme du sable entre les doigts
Comme un malheur à fleur de peau
Mes cris d’amour s’envolent au vent
Pas assez fort pas assez loin
Pour que tu entendes la plainte
Hurlant à travers les haubans

Ça sert à quoi de rester là
Ça sert à quoi ,ça sert à quoi
Voyage moi pour te revoir
Voyage moi là où tu s’ras
Voyage moi que je décolle
Ce manque de toi me cloue au sol
Ramène moi tout près de toi
Ramène moi  humhumhum Voyage moi

Strange Game

En créant cette chanson, paroles , musique et interprétation, j’ai voulu connaître les difficultés mais aussi le plaisir, de participer totalement à l’œuvre.

M’exposer par ce clip, avec la précieuse collaboration de Oscar Sisto , m’a permis de mieux comprendre le fonctionnement des collaborateurs de l’œuvre.

Paroles

On voit bien le bonheur, quand il s’en va
On voit mieux le bonheur, quand il n’est plus là
J’lai pas vu s’éloigner, à tous petits pas
On n’vois plus son bonheur, tant qu’ il est là
On entend le bonheur, quand il n’est plus là
J’comprend plus les paroles la musique est là
Le peintre s’en va, mais la toile demeure
Reste au bout de mes doigts, le gris de couleurs

J’croyais qu’respirer le même air suffirait
J’ai oublié de crier combien je t’aimais
Tu es parti si loin je trouve plus ton chemin
J’ai beau t’appeler du haut des clochers
Je passe mes nuits dans un lit à chagrins
Reviens quand bien même tu n’es plus la même
J’te dirai l’essentiel de ces mots éternels
Et même s’il le faut, t’en inventerai (bis)

Strange game , je n’voulais pas ça
Strange game, J’te voulais qu’à moi
Strange game, je n’ vivais qu’pour toi
Strange game, Et tu n’es plus là.
2 fois

On va faire comme si, tu allais revenir
On va faire comme si, tu voulais m’avertir
Reviens moi, j’ai compris, qu’tu fais ça pour rire
Mon cœur accordéon veut rejouer tes chansons
J’te promets de fermer, la porte avec deux clefs
Au cas où tu voudrais encore me quitter
Je te laisse ma place dans le canapé
T’regarder enfin et casser ma télé.

Refrain 2 fois

Les chevaux de bois

Un texte que j’ai écris avec une musique de Hervé le Dorze, en quelques heures, pour un spectacle musical produit à Lorient.

Paroles

 

Les oreilles bien dressées
Le poil peinturluré
Un bout de queue cassé
Au sol/un marche pied
Un tube traverse leur corps
Ça fait partie du décor
Ils montent et ils descendent
Sur leur dos/des enfants

Refrain
Viens sur nos chevaux de bois
Ceux de notre autrefois
En cavaliers de nos quinze ans
De nos fous-rires d’adolescents
Viens sur nos chevaux de bois
Là où je t’ais dis la première fois
Que je pensais /que je croyais
Finalement (peut être bien) /que je t’aimais
Finalement/ que je t’aimais

La musique à changée
Les couleurs un peu passées
Du manège toujours le même
Qui tourne la/ même scène
Nos chevaux regardent en coin
La montgolfière du tour prochain
Qui nous attend peut être
Pour un tour/de la planète

Pont
La musique à changée
Mais les souvenirs (paroles )sont resté(e)s(les mêmes)
Les flons-flons continent de danser
Prends-moi la main
Puisque je t’aime, puisque tu m’aimes
Viens sur nos chevaux de bois
Où je t’ai dis la première fois…….

JE

Avec une musique de hervé le dorze, pour un projet de CD de Margaux le Dorze, autour du jeu…. Interprète :………………..

Paroles